Français

Déjà soumis:
Luminale 2010, Francfort en Avril 2010, Gagliardi Art System Gallery, Torino en Mars - Avril 2011
Jerusalem Festival of Light , Jérusalem en Juin 2011, XIII-XIV-XV èdition de Luci d’Artista, Turin,
Glow, Eindhoven 2012, Bella Skyway Festival, Torun, 2013, Moscow International Festival “Circle of Light”, Moscou RUS, 2014; CidneOn Festival Internazionale delle Luci a Brescia IT, 2017; Staro Riga LV 2017.

Quarante masques identiques, du Parc national de Bwindi en plein coeur de l'Afrique noire les plus éloignées, comme des petits monolithes sont placés dans l'espace sombre de l'usine désaffectée, semblables à des anciens objets en terre cuite dans un site archéologique. Le rituel prend vie lorsque la lumière artificielle change les couleurs des masques pour créer une danse statique, soutenue par des sons bi-vocal de Touva (Asie centrale), qui exécute à son tour un tableau d'ombres. Un nouveau rituel prend forme à travers archétypes anthropologique universels: le masque africain a toujours été un pont entre l'homme et le surnaturel, le chant harmonique typique de la tradition chamanique de Touva et la lumière. L'aspect le plus intéressant de ce rituel intemporel réside dans le lien entre la lumière et le son, que l’on retrouve souvent dans les anciennes cultures dans lesquelles la signification de la performance religieuse est donnée par la substance du son, qui rappelle la lumière divine pour établir un contact avec l'homme.

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